les coulisses du défilé 2013
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les coulisses du défilé 2013A partir de demain suivez sur le portail les coulisses du défilé du 14 juillet 2013
Un 14 juillet alliant modernité et tradition.Modernité dans la présentation des unités qui se sont illustrées cette année, en particulier dans les engagements au Mali, comme dans la nécessaire modularité de nos forces. Tradition, dans la célébration de multiples anniversaires : 150e anniversaire du combat de Camerone, 70e anniversaire de la médaille de la résistance, 60e anniversaire de la patrouille de France, 50e anniversaire de l’ordre national du Mérite, 50e anniversaire du traité de l’Élysée, les cérémonies seront l’occasion de mettre à l’honneur de nombreuses unités nous rappelant les meilleures pages de l’histoire de nos armées. Avec comme tous les ans une vraie fierté de l’ensemble des unités à Paris, mais aussi dans l’ensemble de nos villes et de nos villages : la fierté du travail accompli, de la mission remplie dans des conditions souvent périlleuses. Et le souvenir de ceux qui ne défileront pas, qui ont donné leur vie pour la France ou qui souffrent au quotidien des blessures subies au service de leur pays. En région parisienne et ailleurs, certaines communes accueilleront les troupes à l’issue du défilé, prolongeant ainsi le partage avec celles-ci. Ce sera l’occasion pour chacun de témoigner et de découvrir le quotidien de nos armées, dans leur engagement comme dans leur vie courante, faisant ainsi de ce 14 juillet une fête de nos armées.
Le défilé 2013 sera l’occasion de marquer trois événements majeurs : Le défilé 2013 sera l’occasion de marquer trois événements majeurs :
L’intervention au Mali : Le 50e anniversaire du traité de l’Élysée : L’entrée de la Croatie dans l’Union européenne : L’intervention au Mali : L’ouverture du défilé à pied 2013 mettra à l’honneur des forces africaines et françaises ayant pris part à l’intervention au Mali. Un détachement de l’armée malienne et de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA) avec les emblèmes du Bénin, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Niger, de la Sierra Léone, du Burkina Faso, du Ghana, du Libéria, du Nigéria, du Sénégal, du Tchad et du Togo, ouvriront le défilé. Ils seront suivis par un détachement de casques bleus représentant la Mission des Nations unies au Mali (MINUSMA). Le détachement des pays africains sera suivi des forces françaises engagées dès les premiers instants au sein de l’opération Serval. Les deux commandants tactiques français des opérations terrestres et aériennes au cours de l’opération défileront symboliquement en tête de ce bloc. Le 10 janvier 2013, les groupes terroristes présents au Nord du Mali renoncent au cessez-le-feu proposé en décembre 2012 par le gouvernement malien et déclenchent une offensive vers le Sud du pays. A la demande du président intérimaire de la République du Mali, dans le strict cadre de la charte des Nations unies et afin de permettre la mise en œuvre de la résolution du conseil de sécurité, le Président de la République décide de répondre à l'urgence et engage la France dans l’opération Serval. Le 50e anniversaire du traité de l’Élysée : Afin d’honorer le 50e anniversaire du traité de l’Élysée, des unités allemandes et françaises appartenant à la brigade franco-allemande participeront au défilé à pied (3e régiment de hussards, Jägerbataillon 292 et bataillon de commandement et de soutien), tandis que les aéronefs allemands survoleront les Champs-Elysées lors des défilés aériens d’ouverture et de clôture (Typhoon et Tigre). Signé le 22 janvier 1963 par le général Charles de Gaulle et le chancelier Konrad Adenauer, le traité de l’Élysée était destiné à sceller la réconciliation entre la France et la République fédérale d’Allemagne, en consacrant notamment leur engagement pour la paix et l’amitié de leurs peuples et l’Europe. L’entrée de la Croatie dans l’Union européenne : Pour mettre à l’honneur son entrée dans l’Union européenne le 1er juillet, la Croatie a également été invitée à participer au défilé à pied avec un détachement de ses forces armées.
Particularité du défilé 2013Le défilé 2013 est placé sous le thème d’ « une armée d’avant-garde, fière de son histoire. » Les défilés aériens et motorisés illustreront parfaitement la modernité des armées françaises avec la présentation d’aéronefs (Rafale, Tigre et Caïman), de véhicules (véhicule blindé de combat d’infanterie), de système de défense sol-air (Mamba) et de structures évolutives mises en œuvre au cours des différentes opérations (escadrons d’aide à l’engagement, batterie de renseignement brigade). En outre, ce défilé mettra l’accent sur la modularité des forces et les matériels en double dotation (AMX10 RC / engins roues canons SAGAIE et véhicules de l’avant blindé Mortier 120 / camions équipés d’un système d’artillerie). Par ailleurs, pour la première fois, l’A400M défilera aux côtés des ces équipements reconnus parmi les plus performants au monde et qui ont déjà fait leur preuve en opérations. Cet avion de transport de nouvelle génération assurera des missions stratégiques à long rayon d’action et des missions tactiques sur pistes courtes et terrains meubles. Cette armée moderne reste attachée à ses traditions et à son histoire. Cette dimension sera illustrée à travers la commémoration de plusieurs anniversaires : Le 150e anniversaire du combat de Camerone : Le 30 avril 1863, dans l’hacienda de Camerone, les 3 officiers et 62 légionnaires de la compagnie du capitaine Danjou résistèrent pendant toute une journée à 2 000 Mexicains. Au soir d’une lutte épique, les 5 derniers survivants chargèrent à la baïonnette. En se battant jusqu’à la dernière extrémité, les légionnaires empêchèrent les Mexicains d’attaquer le convoi que la compagnie protégeait. Le convoi put passer. Ils avaient rempli leur mission. Ce combat est resté comme le symbole de la fidélité à la parole donnée, de la mission remplie quel qu’en soit le prix. Le 30 avril est devenu la fête traditionnelle de la Légion étrangère. Ce jour-là, où qu’elles soient, les unités se regroupent pour assister à la lecture du combat. A Aubagne, cette cérémonie prend une dimension particulière : le capitaine Danjou portait une main articulée. Cette main en bois fut retrouvée sur les lieux du combat et ramenée à Sidi bel Abbès. Elle est conservée à Aubagne, dans la crypte du musée de la Légion. Le 30 avril, elle est présentée devant le front des troupes, portée par un ancien valeureux que la Légion souhaite tout particulièrement honorer. Les anniversaires de la 9e brigade d’infanterie de marine : La 9e brigade d’infanterie de marine (BIMa) est l'héritière de la 9e division d'infanterie coloniale (9e DIC). Cette dernière créée en 1943 a acquis ses titres de gloire lors du débarquement de Provence le 15 août 1944 et la libération de Toulon. Aussitôt l'Armistice signé, ses régiments sont engagés en Indochine dans des secteurs très différents, divisant ainsi l’unité qui cesse d'exister en tant que telle en 1948, sans jamais avoir été officiellement dissoute. La 9e brigade est crée en juillet 1963. Elle est alors attachée à la 11e division d'intervention aux côtés de deux brigades parachutistes. En janvier 1976, la 9e brigade est baptisée «9e division d'infanterie de marine ». Le 1er juillet 1999, la division est restructurée en brigade ; la 9e DIMa devient alors la 9e brigade légère blindée de marine. En janvier 2013, elle prend officiellement le nom de 9e brigade d’infanterie de marine. Elle commémore donc cette année les 70 ans de la création de la 9e DIC, dont elle est l’héritière, et le cinquantenaire de sa recréation en 9e brigade. Le 60e anniversaire de la patrouille de France : Nous sommes en 1931. La première démonstration aérienne en patrouille est présentée en France par un groupe de moniteurs de l’école de perfectionnement au pilotage d’Étampes évoluant sur Morane-Saulnier MS 230. Les résultats sont si brillants que cette patrouille est désignée pour participer aux meetings nationaux et internationaux. Parallèlement, dès 1934 à Dijon, « la Patrouille Weiser » met en œuvre jusqu’à 18 avions. Équipée de Morane-Saulnier 225 et de Spad 510, une de ses spécialités est de voler les avions attachés entre eux par des câbles. Cette performance fait sa renommée. En 1937, « la Patrouille d’Étampes » rejoint la base de Salon-de-Provence, et devient la « Patrouille de l’École de l’Air ». La Seconde Guerre mondiale interrompt les activités de ces différentes patrouilles acrobatiques. Dès 1946, le capitaine Perrier, ancien pilote de la Patrouille d’Étampes, reforme à l’école des moniteurs de Tours, la «Patrouille de Tours». Cette formation retourne à Étampes en 1947, et reçoit officiellement le nom d’escadrille de présentation de l’armée de l’Air. Dotée de 12 Stampe SV4, sa mission est de représenter l’armée de l’Air dans les manifestations aéronautiques nationales et internationales. Ces avions sont présents dans les meetings jusqu’en 1953. Le 50e anniversaire de l’ordre national du Mérite et le 70e anniversaire de la médaille de la Résistance française : Deux autres anniversaires seront également célébrés à l’occasion de l’animation d’ouverture (50e anniversaire de l’ordre national du Mérite) et de l’animation de clôture (70e anniversaire de la médaille de la Résistance française) à laquelle seront associés 6 parachutistes de l’équipe de précision de l’École des troupes aéroportées de Pau. Le chœur de l’armée française et de jeunes volontaires en Service civique participeront à ces deux animations.
14 juillet : concert du Champs de Mars et feu d’artifice au TrocaderoLe soir du 14 juillet, place au feu d’artifice, toujours plus spectaculaire année après année. Avant cela, il y aura eu le concert du Champs de Mars. Concert du Champs de Mars Ainsi, en 2013, il y aura bien un concert au Champs de Mars, contrairement à l’an dernier où Prince n’avait pas trouvé grace aux yeux de la mairie de Paris. Ainsi, cette année place à un concert de musique classique joué par l’orchestre National de France et le Choeur de Radio France et sera honoré de la présence de solistes de grande notoriété. Le concert, qui a pour thème « L’amour à Paris » sera retransmis sur France 2, France Inter et France Musique. Le, concert qui débutera à 21h30, s’achèvera avec la Marseillaise changée oar Roberto Alagna avant de laisser place au feu d’artifice. Feu artifice 14 juillet Le traditionnel feu d’artifice du 14 juillet (d’une durée de 35 minutes), sera tiré depuis les Jardins du Trocadero vers 23h00. C’est Jean Eric Ougler qui est le maitre de cérémonie, on lui doit deja le feu d’artifice du 14 juillet à deux reprises au cours des années precedentes. Cette année, le feu d’artifice a pour thème ‘Liberté, égalité, fraternité’. Pour profiter au mieux du spectacle, il est conseillé de se rendre sur la rive opposée la Seine, rive gauche, pour admirer le feu d’artifice, donc du côté Champs de Mars Tour Eiffel.
Chronologie du Défilé(Ces horaires sont donnés à titre indicatif. Le départ du défilé est donné au moment où le Président de la République s'assied dans la tribune présidentielle). 9h10 : fin de la mise en place des troupes à pied et motorisées sur le site Étoile / Champs-Élysées. 9h20 : inspection des troupes par les officiers généraux commandant les défilés à pied et motorisé. 9h45 : mise en place des détachements d'honneur de la Garde républicaine, place de l'Étoile et place de la concorde. 10h : arrivée du Président de la République avenue de Friedland. Accueil par l'amiral Édouard Guillaud, chef d'état-major des armées, et le général de corps d'armée Hervé Charpentier, gouverneur militaire de Paris. Revue des troupes. 10h15 : honneurs rendus au Président de la République, place de la Concorde par le 1er régiment d'infanterie de la Garde républicaine. 10h20 : animation d'ouverture. 10h35 : défilé aérien d'ouverture commandé par le général de corps aérien Thierry Caspar-Fille-Lambie, commandant de la défense aérienne et des opérations aériennes. 10h40 : défilé des troupes à pied commandé par le général de brigade Henry Bazin, général adjoint engagements auprès du gouverneur militaire de Paris. 11h25 : défilé des troupes montées, suivi du défilé des troupes motorisées commandé par le général de division Philippe Ponties, commandant l'état-major de force n°3. 11h40 : défilé aérien de clôture. 11h45 : animation de clôture. 12h00 : départ du Président de la République.
Déroulé détaillé du défiléAnimation d'ouverture Défilé aérien d'ouverture Troupes à l'honneur
Module "50e anniversaire du traité de l’Élysée" Détachement interarmées croate Général commandant le défilé des troupes à pied Défilé des troupes à pied
École des officiers de la gendarmerie nationale École spéciale militaire de Saint-Cyr École militaire interarmes École navale École des officiers de l’armée de l’Air Écoles du service de santé des armées École de gendarmerie École nationale des sous-officiers d’active École de maistrance École de formation des sous-officiers de l’armée de l’Air Centre national des sports de la Défense 1er et 2e régiments d’infanterie de la Garde républicaine Gendarmerie mobile et Gendarmerie du transport aérien 152e régiment d’infanterie 501e régiment de chars de combat 35e régiment d’artillerie parachutiste 3e régiment du génie Central national d’entrainement commando Commandement des centres préparation des forces Frégate anti-sous-marine Jean de Vienne Bâtiment de projection et de commandement Mistral Frégate de défense aérienne Forbin Gendarmerie de l’air de la base aérienne 107 Base aérienne 105 Base aérienne 942 Drapeau de la direction générale de la police nationale École nationale supérieure de police École nationale de police École nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiers Bataillon de sapeurs-pompiers territoriaux de la zone de défense et de sécurité ouest Brigade de sapeurs-pompiers de Paris Pionniers de la Légion étrangère Musique de la Légion étrangère Commandement de la Légion étrangère 2e régiment étranger de parachutistes 1er régiment étranger de cavalerie 2e régiment étranger de génie
Régiment de cavalerie de la Garde républicaine Défilé des troupes motorisées
Escadron motocycliste de la police nationale Général commandant le défilé des troupes motorisées
État-major de la 9e brigade d’infanterie de marine Escadron d'aide à l'engagement Batterie de renseignement brigade n°9 3e régiment d'infanterie de marine Régiment d'infanterie chars de marine 11e régiment d'artillerie de marine 6e régiment du génie 54e régiment de transmissions Escadron de la défense sol-air 12.950 Tursan Base pétrolière interarmées Brigade de sapeurs-pompiers de Paris Défilé aérien de clôture Animation de clôture
Déroulé détaillé du défilé AérienDéfilé aérien d'ouverture télécharger le programme du Défilé aérien d'ouverture 60 ans de la Patrouille acrobatique de France 9 Alphajet Traité de l’Élysée / Coopération Franco-Allemande 1 A 400M 1 Rafale 1 Typhoon allemand Connaissance / Anticipation 2 Rafale 2 Mirage F1 CR Dissuasion 1 C135 1 Rafale 2 Mirage 2000N Protection 1 E3F 1 Rafale 2 Mirage 2000RDY 1 Mirage 2000RDI Intervention et surveillance maritime 2 Rafale M 2 Super Etendard Modernisé 1 Falcon 50 Coopération internationale : Traité de l’Élysée 1 Rafale 2 Typhoon allemand 1 Mirage 2000 RDI Coopération internationale : Écoles multinationales 2 Alphajet 1 Alphajet belge SERVAL SERVAL / ISR / Patrouille maritime 1 C135 2 Rafale 3 Mirage 2000D 1 Mirage F1 CR 1 C130 1 Atlantique 2 SERVAL : Traité de l’Élysée / Projection de forces Écoles de l’armée de l’Air 1 C160 1 C160 allemand 1 C130 danois 3 CN 235 3 Xingu 1 Grob 120 1 TB 30 1 SR 22 Défilé aérien de clôture télécharger le programme du Défilé aérien de clôture 1 Caïman 1 Tigre 1 Tigre allemand Écoles : 10 ans de l’EFA / Traité de l’Élysée 1 Tigre 2 Gazelle Viviane GAM SERVAL : sous GAM attaque / Reconnaissance 1 Gazelle Viviane 1 Tigre HAP 1 Tigre HAD 1 Puma PC GAM SERVAL : sous GAM attaque / Destruction 2 Gazelle Viviane 1 Tigre HAP 4 HMA + Gunners GAM SERVAL : sous GAM assaut 1 Gazelle Viviane 1 Tigre HAP 1 Puma Gunners GAM SERVAL : sous GAM assaut / IMEX 3 Fennec Sureté aérienne 1 Super Puma 1 EC 725 Caracal 1 Puma Soutien à la population 1 Caïman 1 Panther 1 Dauphin Combat aéromaritime et sauvegarde maritime 1 EC 145 2 EC 135 DGGN 3 EC 145 Sécurité civile 2 Alphajet de la patrouille de France Médaille de la résistance 6 parachutistes de l’École des troupes aéroportées de Pau Sauts parachutistes
Répétition sur les Champs ElyséesElles se déroulent du mardi 9 au vendredi 12 juillet, les matins à partir de 5h00 et jusqu’à 7h30. Les horaires sont affinés au fur et à mesure des répétitions et sont donc susceptibles d'évoluer. Mardi 9 juillet
6h00 - 7h00 : répétition des détachements « Intervention au Mali » (composante africaine uniquement), « Traité de l’Élysée » et « Croate ». 7h00 – 7h30 : animation de clôture (sans la répétition du saut des parachutistes) Mercredi 10 juillet
arrivée du Président de la République revue des troupes honneurs au Président de la République place de la Concorde animation d’ouverture 5h45 – 6h30 : répétition des détachements « Intervention au Mali » (composante africaine uniquement) et « Croate ». 6h30 – 7h00 : animation de clôture (sans la répétition du saut des parachutistes) 7h00 – 7h30 : enchaînements : École nationale supérieure de police (ENSP) École nationale de police (ENP) École nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiers (ENSOSP) Bataillon de sapeurs-pompiers territoriaux de la zone de défense et de sécurité ouest Jeudi 11 juillet
5h30 – 6h15 : Enchaînements : animation d’ouverture défilé aérien (simulé) détachement « Intervention au Mali » (composantes africaine et française) détachement « Croate » École polytechnique 6h15 – 7h00 : base aérienne 105 base aérienne 942 Bataillon de sapeurs-pompiers territoriaux de la zone de défense et de sécurité ouest 7h00 – 7h30 : animation de clôture (sans les sauts parachutistes). Vendredi 12 juillet
5h00 – 5h45 : reconnaissance des troupes motorisées (vérification des emplacements) 5h45 – 6h00 : animation d'ouverture 6h00 – 7h00 : enchainements : centre national d’entrainement commando commandement des centres de préparation des forces brigade de sapeurs-pompiers de Paris 7h00 – 7h30 : animation de clôture (y compris la répétition du saut des 6 parachutistes de l'École des troupes aéroportées)
Articulation de l’unité de la Brigade défilantAutorité défilant en tête : lieutenant colonel Roger Barrau, commandant le 3e groupement d’incendie et de secours Effectif défilant : 130 télécharger l'articulation de l'unité défilant
Défilé du 14 Juillet, des origines à nos joursC’est par décret du 6 juillet 1880 que le 14 Juillet est devenu le jour de la fête nationale. La troisième République, qui a 5 ans d’existence, institutionnalise cette fête et l’organise en lui donnant la forme que l’on connaît encore aujourd’hui, soit deux moments distincts :
l’après-midi et la soirée sont consacrées à la fête populaire avec des bals, feux d’artifice, retraites aux flambeaux, voire défilés d’associations diverses. Le 14 juillet 1880 sur l’hippodrome de Longchamp, Jules Grévy, président de la République remet les nouveaux drapeaux et étendards de la République aux régiments reconstitués après la défaite de 1870. De 1880 à 1924, la revue militaire se déroule sur ce site à l’exception des années de guerre. En effet, le 14 juillet 1915, l’apothéose de la Marseillaise et le transfert des cendres de Rouget de Lisle aux Invalides remplacent les cérémonies habituelles. En 1916, le défilé est modeste, mais pour la première fois des troupes étrangères (Français, Belges, Russes et Britanniques) sont présentes, exprimant ainsi la solidarité interalliée. Le 14 juillet 1917 est déclaré « Journée des drapeaux » : prise d’armes et revue ont lieu sur le cours de Vincennes. En 1918, le 14 Juillet est intitulé « Journée des nations » : la prise d’armes se déroule à la porte Dauphine et un défilé interallié a lieu sur les Champs-Élysées. Le 14 juillet 1919, la fête nationale est organisée en « fête de la Victoire » comportant une revue et un défilé imposant qui parcourt l’avenue de la Grande Armée, la place de l’Étoile, les Champs-Élysées, la place de la Concorde, la rue Royale, les Grands boulevards et la place de la République où a lieu la dislocation. Précédés par 1 000 grands blessés, puis par les maréchaux Joffre et Foch, toutes les armées alliées défilent dans l’ordre alphabétique, l’armée française clôturant le défilé. En 1921, la revue militaire est supprimée à cause de la chaleur, alors que de 1925 à 1928, une simple cérémonie a lieu place de l’Étoile. Il n’y a pas de revue ni de défilé en 1929. De 1930 à 1934, la revue et le défilé se déroulent sur l’esplanade des Invalides, le pont Alexandre III, entre les Petit et Grand Palais et les Champs-Élysées jusqu’à la Concorde. Si le défilé du 14 juillet 1935 a lieu sur les Champs-Élysées, la cérémonie en 1936 se déroule dans les mêmes conditions qu’entre 1930 et 1934. De 1937 à 1939, le défilé a lieu sur les Champs-Élysées, avec une forte participation britannique le 14 juillet 1939, ce défilé se voulant une démonstration de force à l’heure de la montée des périls. Le 14 juillet 1940, quatre jours après l’Armistice, le gouvernement de Vichy engage la population à marquer "par une attitude digne et recueillie la signification particulière que prend, en ces heures douloureuses, la fête nationale". Le 14 Juillet demeurera un jour férié pendant l’Occupation mais le rituel en sera assez profondément modifié. C’est un recueillement pour les deuils de la nation. La fête est célébrée parallèlement par les Français libres à Londres. À la BBC, le général de Gaulle proclame : "Le 14 juillet 1940 ne marque pas seulement la grande douleur de la patrie. C’est aussi le jour d’une promesse que doivent se faire tous les Français par tous les moyens dont chacun dispose, résister à l’ennemi, momentanément triomphant, afin que la France, la vraie France, puisse être présente à la victoire". Le général de Gaulle dépose une couronne à la statue du maréchal Foch à Londres, et passe en revue les premiers contingents des Forces Françaises Libres qui défilent dans les rues de la capitale britannique. De 1940 à 1944, des cérémonies ont lieu à Londres et dans les territoires ralliés à la France Libre. Le 14 juillet 1945, précédés par trois jours de réjouissances civiques, revue et défilé se déroulent sur le cours de Vincennes et la place de la Bastille. Puis de 1946 à 1973, les défilés successifs ont lieu sur les Champs-Élysées. En 1974, à la demande de M. Giscard d’Estaing, président de la République nouvellement élu, la cérémonie a lieu sur les Grands Boulevards, entre les places de la Bastille et de la République. En 1975, la revue est passée sur le cours de Vincennes et le défilé revient sur les Champs-Élysées en 1976. En 1977, la cérémonie a lieu devant l’École militaire, puis c’est de nouveau sur les Champs-Élysées que se déroule le 14 juillet 1978. Après un défilé de la place de la République à celle de la Bastille en 1979, la cérémonie a été maintenue sur les Champs-Élysées depuis 1980, celui de 1982 s’étant déroulé exceptionnellement de nuit.
Répétition - Vendredi 12 juilletVendredi 12 juillet ● Répétition du largage des parachutistes place de la Concorde le vendredi 12 juillet à 7h00. ● Prise d’armes des défilants présidée par le chef d'état-major des armées le vendredi 12 juillet à 18h00 dans la cour d’Honneur de l’Hôtel national des Invalides. La remise de décorations concernera les récipiendaires des deux ordres nationaux et de la Croix de la Valeur militaire appartenant aux unités qui défileront sur les Champs-Élysées. ● Inauguration de l’exposition photographique « 14 Juillet » à 19h00 dans les douves Nord de l’Hôtel national des Invalides, Paris 7e.
Répétitions - Samedi 13 juilletSamedi 13 juillet ● Prise d’armes traditionnelle de la Légion étrangère à 11h00 dans les jardins du Sénat, Paris 6e. ● Messe pour la France célébrée par monseigneur Luc Ravel, évêques aux armées, à 17h00 en la cathédrale Saint-Louis des Invalides, Paris 7e.
Programme du dimanche 14 juillet 2013Dimanche 14 juillet
● Messe dominicale en la chapelle Notre-Dame du Bon Secours, 21 bis rue Notre-Dame des Champs, Paris 6e, retransmise en direct à 7h00 sur France 2 dans l’émission Le jour du Seigneur. Cette messe sera célébrée par monseigneur Luc Ravel, évêque aux armées, et animée par les aumôniers militaires. ● À partir de 10h00 : défilé sur les Champs-Élysées. ● À partir de 12h00 : déjeuner d'une partie des troupes ayant défilé dans les mairies accueillant un détachement militaire. ● Après-midi : opération de relations publiques « Les Franciliens accueillent leurs soldats ». Au programme : témoignages des soldats sur leur métier, leurs activités et leur engagement dans les opérations intérieures et extérieures ainsi que présentations de matériels.
14 juillet 2013 - les matériels présents
AMX 10 RC Bras élévateur articulé automobile (BEAA) Camion-citerne avec remorque utilisés pour les théâtres d’opérations extérieures (TOE) Camion-citerne de l’avant avec remorque Carapace Camion-citerne rural (CCR) Camion équipé d’un système d’artillerie (CAESAR) Camion-remorque blindé de type KERAX G430 DEFENDER Disperseur de mines antichar courte portée (MINOTAUR) Échelle pivotante automatique (EPA) Engin du génie d’aménagement (EGAME) ERC 90 SAGAIE Fourgon pompe tonne (FPT) Grue Liebherr Matériel d’amélioration de la traficabilité des sols (MATS) Petit véhicule protégé (PVP) Premier secours tonnes (PST) Véhicule blindé de combat d’infanterie (VBCI) Véhicule blindé léger (VBL) Véhicule blindé léger à châssis long (VBLL) Véhicule de l’avant blindé (VAB) Véhicule de liaison radio (SPVL) Véhicule de protection et de signalisation (VPS) Véhicule de secours et d’assistance aux victimes (VSAV) Véhicule d’intervention grandes intempéries (VIGI) Véhicule léger de reconnaissance et d’appui (VLRA) Véhicule léger tout terrain P4 (VLTT) Yamaha FJR 1300
Atlantique 2 Atlas 400M C 130 C 135 C 160 CN 235 E3F Falcon 50 GROB 120 Mirage 2000 D Mirage 2000 N Mirage 2000 RDI Mirage 2000 RDY Mirage F1 CR Rafale Rafale Marine Super étendard modernisé SR 22 TB 30 Typhoon Xingu
Caïman Marine Dauphin EC 725 Caracal EC 135/145 Fennec Gazelle Viviane Panther Puma Puma PC Super Puma Tigre appui protection (HAP) Tigre appui destruction (HAD)
Répétition - Vendredi 12 juillet sur les champsPour les lèvent tôt, ne pas louper la répétition du saut de parachutistes 4h30 – 5h00 : exercice de dépannage 4h30 – 5h45 : reconnaissance et repérage des positions de revue des troupes motorisées (vérification des emplacements) 5h45 – 6h30 : enchainements :
commandement des centres de préparation des forces brigade de sapeurs-pompiers de Paris 7h00 – 7h30 : animation de clôture (y compris la répétition du saut de parachutistes)
Animation d'ouverture : 50e anniversaire de l'ordre national du MériteHistorique de l’ordre national du Mérite : L’ordre national du Mérite est le second ordre national après la Légion d’Honneur. Il compte aujourd’hui 187 000 membres récompensés pour leurs mérites distingués, manifestés pendant au moins quinze ans, soit dans une fonction publique, civile ou militaire, soit dans l’exercice d’une activité privée (décret du 3 décembre 2013 portant création d’un ordre national du Mérite). L’ordre national du Mérite a été créé le 3 décembre 1963 par le général de Gaulle, à l’initiative du général Catroux alors Grand chancelier. C’est l’aboutissement d’un plan d’ensemble de revalorisation des décorations, entrepris au vu de l’inflation des décorés de la Légion d’Honneur qui compte au début des années 1960 près de 320 000 membres. Pour défendre la valeur de la plus haute distinction française, le général de Gaulle prend plusieurs mesures. Il modernise tout d’abord sa législation – c’est la promulgation en 1962 du code de la Légion d’Honneur qui impose notamment un seuil maximum de 125 000 « légionnaires » vivants (il y en a 93 000 aujourd’hui). Il institue ensuite un second ordre national, l’ordre national du Mérite destiné à récompenser les mérites distingués de citoyens ne présentant pas toutes les qualifications requises pour la Légion d’Honneur, notamment la durée de service qui est ici moindre (15 ans contre 20). Enfin, dans une volonté de simplification, le général de Gaulle supprime la plupart des ordres spécialisés (13 ordres ministériels et les trois ordres de la France d’outre-mer) pour ne conserver que les Palmes académiques, le Mérite agricole, le Mérite maritime et les Arts et lettres. L’ordre national du Mérite, en se substituant partiellement aux ordres disparus, permet d’harmoniser le système des décorations françaises et vient seconder la Légion d’Honneur ; il facilite également l’attribution d’une décoration nationale aux étrangers. Durée de l’animation : environ 12 minutes Participants à l’animation d’ouverture :
musique principale des troupes de marine chœur de l’armée française 37 jeunes volontaires en service civique Florian Laconi, ténor Articulation des tableaux : L'animation d'ouverture s'articule en cinq tableaux dynamiques, dont le dernier s'achève par la représentation de la médaille de l'ordre national du Mérite. Lors de la position d'attente, et avant le départ de l'animation, les spectateurs peuvent entendre l'Olympic fanfare de James Curnow, exécutée par les deux musiques. Le premier tableau s'ouvre sur un solo des tambours des deux musiques qui interprètent l'Influx de Jean-Pierre Dorchène. Les tambours rejoignent ensuite le rang des musiques. Ces dernières jouent The White bison d'Alain Crépin. Simultanément, le dernier rang des formations musicales se détache pour constituer la bélière de la médaille de l'ordre national du Mérite, tandis que les autres musiciens viennent former l'étoile à six branches doubles de la médaille. L'étoile à 6 branches doubles formée, le chœur de l'armée française prend place au centre de l'étoile, formant ainsi le cœur de la médaille au son du Chœur des soldats extrait du Faust de Gounod. Le drapé bleu France du ruban de la médaille se déploie alors, symboliquement soutenu par les 37 jeunes volontaires en Service Civique, au rythme de Welcome de Raymond Richard. Enfin, lors du tableau final, le ténor Florian Laconi interprète La Marseillaise d'Hector Berlioz, accompagné de l'ensemble des musiques et des jeunes volontaires en service civique. Les formations de l'animation d'ouverture quittent la place de la Concorde accompagnées par La Madelon de la Victoire de Charles Borel.
Animation de clôture : 70e anniversaire de la médaille de la Résistance françaiseHistorique de la médaille de la Résistance française : La médaille de la Résistance française a été instituée à Londres, par ordonnance du 9 février 1943 du général de Gaulle, " chef de la France combattante ". Son objet était de "reconnaître les actes remarquables de foi et de courage qui, en France, dans l'Empire et à l'étranger, auront contribué à la résistance du peuple français contre l'ennemi et contre ses complices depuis le 18 juin 1940". C'est la seconde, et seule, décoration créée, après l'Ordre de la Libération, pendant la guerre, par le général de Gaulle. La médaille de la Résistance française a été conférée à 62 751 personnes (dont 24 463 à titre posthume) appartenant aussi bien aux Français libres qu'à la Résistance intérieure. Elle a été également attribuée à 18 collectivités territoriales (17 villes ou villages de métropole, de Lyon ou Brest à l'Ile de Sein, et le territoire de la Nouvelle-Calédonie), à 22 unités militaires des trois armées et à 15 autres collectivités (lycées, hôpitaux, couvents, etc.). La médaille de la Résistance française n'est plus attribuée depuis le 1er avril 1947, sauf au titre de la Résistance en Indochine, pour laquelle le délai a été prorogé jusqu'au 31 décembre 1947. La médaille de la Résistance française n'a été décernée que par décret du chef de la France combattante, du Président du gouvernement provisoire de la République puis, à partir du 1er janvier 1947, du Président de la République. Elle peut encore être attribuée, à titre posthume, dans les mêmes conditions, mais uniquement à des personnes tuées pendant la guerre. Participants à l’animation de clôture :
54 jeunes volontaires en service civique 6 parachutistes de l’École des troupes aéroportées de Pau 2 Alphajet de la patrouille de France Articulation : L’animation de clôture est l’occasion cette année de célébrer le 70e anniversaire de la médaille de la Résistance française. Cette animation est accompagnée de la musique de la Garde républicaine et du chœur de l’armée française, qui interprètent des marches militaires et des chansons populaires de la période de la Libération :
Fleur de Paris d’Henri Bourtayre, interprété par la musique de la garde républicaine et le chœur de l’armée française dirigé par le commandant Aurore Tillac ; Paris en colère de Maurice Jarre, interprété par le ténor Florian Laconi, accompagné par la musique de la garde républicaine ; Paris Tour Eiffel de Michel Emer, interprété par la musique de la garde républicaine et le chœur de l’armée française. ; Souvenir de la 56e brigade de Mornay, interprété par la musique de la garde républicaine. 54 jeunes volontaires en Service civique portent les 54 coussins de chacune des 54 collectivités territoriales et civiles, ainsi que des unités militaires, titulaires de cette décoration. Deux Alpha Jet de la Patrouille de France survolent alors les Champs-Élysées avec un panache noir et rouge aux couleurs de la médaille de la Résistance française. Largués d’un hélicoptère au-dessus de Paris, 6 parachutistes de l’École des troupes aéroportées de Pau, sportifs de haut niveau dans leur discipline et détenteurs de titres nationaux et internationaux, sautent sur la place de la Concorde : Adjudant-chef Patrick Ventaja Né en 1967, l’adjudant-chef est instructeur de militaire de chute libre, il possède les qualités humaines et professionnelles qui en font naturellement le leader incontesté de l’équipe de l’École des troupes aéroportées, qu’il a conduit à 3 reprises ici-même devant la tribune Présidentielle. Il totalise plus de 10 000 sauts, 30 titres de champions de France militaires et civils, par équipe et en individuel. C’est un athlète de haut niveau, est membre de l’équipe de France de parachutisme avec laquelle il est plusieurs fois médaillé lors de compétitions internationales comme en Serbie ou il est recordman du monde par équipe. Adjudant-chef Patrice Combes Né en 1962, l’adjudant-chef Patrice Combes possède une exceptionnelle expérience opérationnelle et technique, il met dans son travail ses compétences au service de la sécurité des parachutistes. Il totalise plus de 4 500 sauts dont 900 en tandems. Instructeur militaire, il est brevet d’État BEES1 et enquêteur de 1re intervention dans le cadre d’accident aéronautiques. Adjudant-chef Olivier Menanteau Né en 1971, l’adjudant-chef Olivier Menanteau est commando parachutiste de formation et membre de l’équipe de compétition de l’ETAP. Il totalise plus de 3 500 sauts, dont 350 tandems. Instructeur militaire de chute libre, il est aussi pilote tandem. Champion de France par équipe, il figure régulièrement sur les podiums lors des circuits coupe de France. Adjudant Cédric Tavernier Né en 1972, l’adjudant Cédric Tavernier est moniteur parachutiste. Il forme de jeunes parachutistes au brevet initial et possède plus de 4 200 sauts à son actif. Plusieurs fois sur les podiums lors des circuits coupe de France, il est également 3 fois champion de France par équipe. Adjudant Blandine Perroud Née en 1977, l’adjudant Blandine Perroud est auréolé du statut d’athlète de haut niveau. Elle se distingue en tant qu’ambassadrice du Free Fly au niveau mondial. Elle totalise plus de 3 500 sauts. Membre de l’équipe de France féminine, elle prépare actuellement les championnats du monde militaires. Elle est brevetée d’État instructeur chute et tandem. Caporal-chef Mohamed Moujid Né en 1981, le caporal-chef Mohamed Moujid est membre de l’équipe de compétition de l’École des troupes aéroportées. Un bel avenir de parachutiste se profile pour lui. Totalisant plus de 3 500 sauts, il est champion de France par équipe. C’est aussi un habitué des podiums lors du circuit de la coupe de France. Une fois posés, 3 parachutistes déploient le drapeau français et 3 autres celui de la médaille de la Résistance française. Puis, le chœur de l’armée française interprète a capella Le Chant des partisans.
14 juillet : Le défilé victime de la criseL’heure est à l’économie même pour le traditionnel défilé du 14 juillet. Les effectifs qui ont défilé sur les Champs-Elysées ont été revus à la baisse. On le sait : la France doit faire des économies. Des mesures qui touchent aussi le traditionnel défilé du 14 juillet. Et oui, tous ces véhicules roulants ou volants, ça coûte cher en carburant. Ne parlons pas non plus de toutes ses tentes et autres gradins à installer pour accueillir les invités. Bref, à l’heure où tout le monde se serre la ceinture, le défilé du 14 juillet sur les Champs-Elysées a, lui aussi, vu son budget réduit. Si l’on en croit le journal Metro, ce sont près de 500 000 euros qui auraient été grappillés. Moins de véhicules sans renier sur la qualité du spectacle Comment la facture exorbitante (le coût du défilé aurait été de 4 millions € en 2012) a-t-elle réduite ? Et bien tout simplement en réduisant le nombre de défilants. Fini l’exposition de tous les véhicules des armées. Cette année, ce sont les jeeps, avion ou hélicoptères qui partent en opération qui feront le show. Bilan : - 30 % de véhicules terrestres et – 10 % de véhicules aériens selon nos confrères, qui précisent aussi que la réduction s’appliquerait aussi aux tribunes. En clair, les invités ont du devoir se serrer un peu pour assister à ce défilé, selon le site du gouverneur militaire de Paris, en charge de l’organisation.
Cérémonies du 14 juillet 2013Voici le récapitulatif de tous les articles publiés par le portail :
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